En avril dernier, le coprésident de la Commission, Denis Racine, s’est rendu en France. Lors de son séjour, il a eu plusieurs rencontres dont voici le résumé :
4 avril 2024 : Après s’être rendu à Villers-Cotterêts afin de visiter la nouvelle Cité internationale de la langue française, il a assisté à l’ouverture de l’exposition « Le Québec à Paris : les Bibliothèques Sainte-Geneviève et Gaston-Miron se rencontrent » au sein de laquelle la Commission présente sa mission et quelques ouvrages qu’elle a publiés (vitrine no. 14).
12 avril 2024 : Il a participé à une réunion de la section française de la Commission au cours de laquelle les deux coprésidents et les membres présents ont échangé sur les activités de chacune des sections.
14 avril 2024 : Avec l’ancien Consul général de France à Québec, le coprésident a visité le Vieux Rouen et discuté de certains projets de la Commission dans cette ville et cette région.
15 avril 2024 : Les deux coprésidents de la Commission, accompagnés par Alain Bourreau et Christian Rouvreau, ont rencontré M. Alain Pichon, président du Conseil départemental de la Vienne, afin de lui présenter un projet d’aménagement de deux salles au Mémorial du Poitou, à Mont-sur-Guesnes (qu’ils avaient visités un peu plus tôt dans la journée), concernant les 200 pionniers de la Vienne venus s’établir en Nouvelle-France. Par la suite, ils se sont rendus à La Grimaudière pour y discuter avec le maire Claude Sergent de l’apposition d’une plaque commémorative pour les familles Garneau sur les murs de l’église de Notre-Dame d’Or.
16 avril 2024 : En compagnie de Christian Rouvreau, membre de la Commission, et de Dominique Cherbonnier et Jean-Pierre Lagarde, de l’Association Pays-Rochelais-Québec, M. Racine a eu un entretien avec Cristina Baron, directrice du Musée maritime de La Rochelle et Géraldine Gillardeau, directrice de la culture de la Ville de La Rochelle, afin d’étudier la possibilité de présenter au musée à l’automne 2025 un colloque sur 500 ans de navigation transatlantique, qui serait le miroir de celui de la section québécoise qui aura lieu à Montréal le 10 mai 2024.
17 avril 2024 : Se rendant à Angoulême en compagnie de la présidente de la section française, Chantal Moreno, de Louis Pailloux et de Christian Rouvreau, membres de la Commission et d’Hélène Granet, présidente de l’Association Hautes-Vallées-Charente de la Fédération France-Québec/francophonie, ils ont déjeuner avec Florent Gaillard directeur des archives municipales et Auriane Métay, chargée de mission UNESCO auprès de la Ville et représentante du maire, pour exposer les projets de la Commission et plus particulièrement un colloque en octobre prochain ayant pour thème « Histoire, patrimoine et tourisme : la Nouvelle-France, atout majeur des stratégies et initiatives touristiques des territoires ». Puis le groupe s’est rendu à Puymoyen (patrie des familles Simard) et à Jauldre (lieu d’origine du père Jean-Baptiste de La Brosse).
18 et 19 avril 2024 : Le président était à Bordeaux afin de discuter avec William Biard, Michel Cotnoir, Evelyne Vaity et Alain Cassagnau, de l’organisation du colloque des 14 et 16 novembre prochain en collaboration avec l’université de Bordeaux, concernant le père Lafitau, un jésuite originaire de cette ville, qui a écrit en 1724 un livre sur les Iroquois avec qui il a vécu pendant huit ans au Sault-Saint-Louis, et aujourd’hui considéré comme le père de l’ethnologie moderne.
12 avril 2024 : Il a participé à une réunion de la section française de la Commission au cours de laquelle les deux coprésidents et les membres présents ont échangé sur les activités de chacune des sections.
14 avril 2024 : Avec l’ancien Consul général de France à Québec, le coprésident a visité le Vieux Rouen et discuté de certains projets de la Commission dans cette ville et cette région.
15 avril 2024 : Les deux coprésidents de la Commission, accompagnés par Alain Bourreau et Christian Rouvreau, ont rencontré M. Alain Pichon, président du Conseil départemental de la Vienne, afin de lui présenter un projet d’aménagement de deux salles au Mémorial du Poitou, à Mont-sur-Guesnes (qu’ils avaient visités un peu plus tôt dans la journée), concernant les 200 pionniers de la Vienne venus s’établir en Nouvelle-France. Par la suite, ils se sont rendus à La Grimaudière pour y discuter avec le maire Claude Sergent de l’apposition d’une plaque commémorative pour les familles Garneau sur les murs de l’église de Notre-Dame d’Or.
16 avril 2024 : En compagnie de Christian Rouvreau, membre de la Commission, et de Dominique Cherbonnier et Jean-Pierre Lagarde, de l’Association Pays-Rochelais-Québec, M. Racine a eu un entretien avec Cristina Baron, directrice du Musée maritime de La Rochelle et Géraldine Gillardeau, directrice de la culture de la Ville de La Rochelle, afin d’étudier la possibilité de présenter au musée à l’automne 2025 un colloque sur 500 ans de navigation transatlantique, qui serait le miroir de celui de la section québécoise qui aura lieu à Montréal le 10 mai 2024.
17 avril 2024 : Se rendant à Angoulême en compagnie de la présidente de la section française, Chantal Moreno, de Louis Pailloux et de Christian Rouvreau, membres de la Commission et d’Hélène Granet, présidente de l’Association Hautes-Vallées-Charente de la Fédération France-Québec/francophonie, ils ont déjeuner avec Florent Gaillard directeur des archives municipales et Auriane Métay, chargée de mission UNESCO auprès de la Ville et représentante du maire, pour exposer les projets de la Commission et plus particulièrement un colloque en octobre prochain ayant pour thème « Histoire, patrimoine et tourisme : la Nouvelle-France, atout majeur des stratégies et initiatives touristiques des territoires ». Puis le groupe s’est rendu à Puymoyen (patrie des familles Simard) et à Jauldre (lieu d’origine du père Jean-Baptiste de La Brosse).
18 et 19 avril 2024 : Le président était à Bordeaux afin de discuter avec William Biard, Michel Cotnoir, Evelyne Vaity et Alain Cassagnau, de l’organisation du colloque des 14 et 16 novembre prochain en collaboration avec l’université de Bordeaux, concernant le père Lafitau, un jésuite originaire de cette ville, qui a écrit en 1724 un livre sur les Iroquois avec qui il a vécu pendant huit ans au Sault-Saint-Louis, et aujourd’hui considéré comme le père de l’ethnologie moderne. 
