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Bulletin n°35, décembre 2012

Au temps de la petite vérole – la médecine au Canada aux XVIIe et XVIIIe siècles par Rénald Lessard: un voyage surprenant dans l’histoire médicale de la Nouvelle-France

 Au temps de la petite vérole – la médecine au Canada
aux XVIIe et XVIIIe siècles

par Rénald Lessard : un voyage surprenant dans l’histoire médicale de la Nouvelle-France

 

Par Evelyne Ferron
Source : Bible urbaine Ton webzine branché sur la culture

 

Au temps de la petite vérole – la médecine au Canada aux XVIIe et XVIIIe siècles

Crédit photo : Les éditions du Septentrion 

Lorsqu’on pense aux maladies infectieuses ou aux pratiques médicales (parfois douteuses) du passé, nous en avons généralement une image assez floue, pour ne pas dire empreinte de fausses conceptions. Historien et coordonnateur de la section Diffusion au Centre d’archives de Québec de la section Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Rénald Lessard s’est attaqué avec minutie à cette histoire complexe qu’est celle des maladies et de la médecine en Nouvelle-France. Il nous offre ici l’édition de son impressionnante thèse de doctorat dans un format de type encyclopédie illustrée, ce qui ne nuit en rien à la qualité d’érudition de cet ouvrage, rare dans l’historiographie québécoise.

Si  nous comprenons mieux aujourd’hui l’origine de certaines maladies et les modes de propagation de nombreuses infections, à l’époque de la Nouvelle-France la maladie était encore perçue comme une punition divine. En effet, avant les avancées significatives en médecine et à l’ombre d’un pouvoir important de l’Église catholique, la société de la Nouvelle-France,  à l’instar de la France, voyait Dieu comme maître de la vie et de la mort. Les gens étaient de plus habitués à la mort, qui arrivait par le biais de guerres sanglantes, mais aussi tout simplement par la naissance, qui représentait souvent le décès de la mère en couches et parfois de l’enfant. Et que dire des maladies infantiles qui emportèrent tant de jeunes enfants dans l’histoire de l’humanité! Mais cette vision des choses n’excluait en rien les besoins de soins médicaux des Canadiens-Français et c’est dans ce contexte de fatalité que s’est développée la médecine en Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles.

Le livre de Rénald Lessard nous plonge donc dans ce contexte bien particulier et le fait de manière méticuleuse et même pédagogique. L’ouvrage de 448 pages décortique en détail non seulement ce contexte particulier en Nouvelle-France (pourtant réputée pour un air plus sain qu’en Europe), mais aussi, dans le premier chapitre, s’attarde aux différentes maladies qui ont affecté la société canadienne-française, passant de la petite vérole, au typhus, aux maladies de la peau et même aux empoisonnements. Après ce parcours historique souvent inquiétant (hypocondriaques s’abstenir!), l’historien s’intéresse à l’art de guérir, que ce soit à l’aide de médicaments ou… d’outils et continue cette analyse en nous présentant les praticiens non reconnus comme le clergé, mais aussi les charlatans. Mais l’histoire de la médecine, surtout en Nouvelle-France, serait incomplète sans une analyse des hôpitaux et à travers eux, des communautés religieuses qui en ont eu la charge comme les Augustines qui ont fondé l’Hôtel-Dieu de Québec. Rénald Lessard s’y intéresse et nous présente ensuite ceux qui ont fait au fil du temps de la médecine une spécialité : les apothicaires, les médecins et les chirurgiens.

Le résultat est donc un livre étoffé qui couvre avec détail tous les aspects de l’histoire médicale de la Nouvelle-France et les informations (n’oublions pas qu’il s’agit de la publication d’une thèse) sont abondamment appuyées de notes en bas de page explicatives et le livre est également accompagné d’une imposante bibliographie. Outre ce caractère encyclopédique, ce livre est aussi secondé par de nombreuses références à des documents d’époque qui viennent humaniser le propos en nous illustrant la réalité des gens. En effet, l’ouvrage aurait pu être uniquement axé sur les maladies et les méthodes de guérison, mais Rénald Lessard a eu le génie ici de faire parler les gens à travers une histoire qui aurait donc pu être très technique. De plus, ces témoignages sont bien souvent accompagnés d’images d’archives (toutes en noir et blanc), comme des certificats de soins, qui nous permettent de voir la calligraphie de l’époque.

Malgré cette volonté de rendre l’ouvrage grand public, il n’en demeure pas moins que ce livre est avant tout un ouvrage de référence historique, caractérisé par une approche scientifique. À cet égard, il est surtout destiné aux amateurs d’histoire de la Nouvelle-France, de même qu’aux différents spécialistes du domaine médical. Il s’agit effectivement d’un ouvrage de référence de grande qualité. Le style d’écriture rend néanmoins le propos tout à fait compréhensible pour le grand public et parvient à rendre intéressant des sujets qui parfois pourraient être très lourds. Cependant, si la mention même d’une maladie vous rend nerveux, cet ouvrage risque de vous éprouver par moments, puisque la description de certaines maladies ou pratiques médicales est parfois très imagée, pour ne pas dire, dégoûtante!

À noter qu’une exposition inspirée de ce livre, «Au temps de la petite vérole – Médecins, chirurgiens et apothicaires en Nouvelle-France» est présentée au Château Ramezay jusqu’au 28 avril 2013.

La vision culturelle d’Athanase David

La vision culturelle d’Athanase David,
Montréal, Del Busso Éditeur, 2012, 267 p.

 

Par Gilles Durand

 

La vision culturelle d'Athanase David

Crédit illustration : Del Busso éditeur

Quelques notes biographiques sur Athanase David
Cet ouvrage de Fernand Harvey, récemment sorti des presses de l’imprimeur Marquis pour le compte de l’éditeur Del Busso, fait revivre les causes pour lesquelles s’est battu un homme politique, à la fois doté d’une vaste érudition et de vision, Athanase David. Entré en politique en 1916 comme député du comté provincial de Terrebonne, il devient ministre titulaire du secrétariat de la Province sous les gouvernements Gouin et Taschereau de 1919 à 1936. En 1940, il est nommé au Sénat canadien et y siège jusqu’en 1953, année de son décès.

L’ouvrage : approche choisie par l’auteur et contenu
Pour faire revivre la carrière d’un homme engagé qui se signale par son attachement aux origines françaises du Québec tout en étant convaincu de la capacité créative de ses compatriotes, l’auteur choisit une approche qui ne manque pas d’intérêt et à l’occasion de piquant : il fait suivre l’analyse de la vision et des réalisations du personnage par le texte lui-même de ses discours, invitant même le lecteur à se retremper dans l’atmosphère de l’époque par l’écoute de l’enregistrement d’un discours prononcé le 30 mai 1945 et disponible sur le site de l’éditeur Del Busso.

 

La publication se subdivise en deux grandes parties précédées d’une introduction. Dans celle-ci, l’auteur présente les résultats de ses analyses des textes de même que le contexte dominant à l’époque de l’homme politique : un système d’éducation largement influencé par le clergé – par le biais d’un organisme apolitique, le Conseil de l’instruction publique, et des collèges classiques; l’opinion largement partagée que l’État doit intervenir le moins possible dans l’éducation et l’économie. La 1re partie est consacrée aux discours de David portant sur le Québec et la société canadienne-française; éducation, relations avec la France pour la formation des nôtres, envoi par la France de professeurs dans nos institutions d’enseignement; bonne entente entre les deux races dont est constitué le Canada et patriotisme à son endroit, constituent autant de thèmes occupant une place de choix. La 2e partie traite d’un domaine dans lequel David excelle, la culture, plus précisément la constitution d’une élite dans des champs aussi diversifiés que les beaux-arts, les lettres, le patrimoine et la musique. Enfin, l’ouvrage est complété par une chronologie de la carrière de l’homme politique et par une bibliographie d’ouvrages de sa main – en fait deux – ou traitant de lui.

L’originalité de la vision et des réalisations de David
Tout au long de sa carrière, David se démarque. Par contre, deux des préoccupations qu’il exprime dans plusieurs de ses discours le signalent particulièrement.

La formation d’une élite constitue l’une de celles-ci. Depuis longtemps, les collèges classiques préparent la jeunesse à la prêtrise et à l’exercice des professions libérales par un programme axé sur les humanités. Cette fois, David élargit le champ aux beaux-arts, à la musique et au patrimoine sous ses formes les plus tangibles, lieux, bâtiments, objets, monuments ayant un intérêt historique ou artistique. Il y va de l’avenir du Québec et de la société canadienne française qu’une élite rayonne dans tous les champs de la culture. Par contre, point à signaler, l’importance accordée par David à la dimension culturelle ne l’empêche pas d’insister tout autant sur la formation d’une élite économique, commerciale, industrielle et financière. Il conçoit la richesse et la culture comme allant de pair, comme un tout, la première étant une condition pour que la seconde puisse d’épanouir : l’artiste a besoin du support de mécènes et de l’État pour lui venir en aide – par contre David ne va pas jusqu’à évoquer le rôle de l’État comme levier économique pour la collectivité québécoise.

Autre point à signaler, David réussit à convaincre ses collègues du gouvernement d’élargir leurs champs d’intervention en matière de culture et d’éducation. S’il existe déjà quatre écoles de formation pratique relevant de l’État – commerce, enseignement technique –, il ne craint pas d’élargir la brèche dans le système confessionnel en faisant mettre sur pied deux nouvelles écoles d’État consacrées aux beaux-arts – pour un conservatoire de musique d’État, il doit cependant se contenter d’être le semeur, laissant à son successeur, Hector Perrier, le soin de récolter les fruits. Les Québécois lui sont aussi redevables de plusieurs autres réalisations : adoption en 1922 d’une première « Loi pour la conservation des monuments et des objets d’art ayant un intérêt historique ou artistique » accompagnée de la mise sur pied d’une Commission des monuments historiques qui réalise les premiers grands inventaires de notre patrimoine bâti; ouverture en 1933 d’un musée, pour y conserver et mettre en valeur l’héritage du passé et les nouvelles créations; une « Loi relative à la radiodiffusion dans cette province » pour faire entrer le Québec dans le monde de la radiodiffusion et ainsi ouvrir plus largement la culture québécoise à la population – une loi adoptée, mais qui ne sera pas mise en application lorsqu’il est au pouvoir à Québec; support aux artistes et aux scientifiques québécois par l’augmentation du nombre de bourses de perfectionnement en Europe, en France notamment dont il reconnaît toute l’importance; reconnaissance publique du talent des créateurs par l’attribution d’un prix littéraire, le Prix David, un honneur encore très recherché parmi les Prix du Québec actuels .

En guise de conclusion
L’ouvrage de Fernand Harvey tombe à point. Elle paraît au cours d’une année, 2012, qui marque l’entrée en vigueur de la nouvelle Loi sur le patrimoine culturel, 90 ans après l’adoption de la première Loi sous l’impulsion d’Athanase David lui-même. À celui qui parcourt la publication, elle suggère les mots suivants pour résumer la vision et la carrière de l’homme politique : préserver et mettre en valeur l’héritage apporté par Champlain, le faire fructifier et le bonifier pour les générations futures, dans un contexte de bonne entente entre les deux peuples fondateurs du Canada – David propose même un manuel d’histoire unique pour les écoliers de toutes les provinces canadiennes, proposition qui n’a pas de suite.

Augé …moments de vie, moments d’histoire…

Augé …moments de vie, moments d’histoire…

Un ouvrage sur une commune rurale aux confins de la Plaine et de la Gâtine
faisant partie des villages de France, …berceau de l’Amérique française

 

 

Par Marguerite Morisson-Gaboreau

 

Augé …moments de vie, moments d'histoire… Marguerite Morisson-Gaboreau

Augé …moments de vie, moments d’histoire…
Marguerite Morisson-Gaboreau

Durant des années, Marguerite et André Morisson ont collecté et conservé précieusement des documents, des photos, des articles de presse relatifs à Augé et à son histoire, Augé commune rurale aux confins de la Plaine et de la Gâtine.

Marguerite n’est pas native d’Augé, mais son coeur est depuis longtemps augéen et mieux que personne, avec talent, elle a su transcrire le passé lointain ou proche, avec cette grande générosité et l’amour des gens qui la caractérisent.

Ce livre sur Augé, c’est un regard avisé et sans concession sur notre histoire. C’est LE livre qui s’adresse à tous. Les nouveaux arrivants trouveront là une occasion de découvrir ce petit territoire authentique, mais bien dans son époque. Les anciens Augéens, à la lecture de cet ouvrage, se remémoreront les souvenirs d’un temps pas si éloigné, autour de nos disparus qui nous ont légué cet environnement relativement préservé de notre campagne locale.

De la découverte, de l’émotion, des souvenirs ; vous aurez hâte de parcourir les pages de cet ouvrage qui nous rendra plus riches et plus fiers de notre patrimoine historique.

Marie-Françoise TRAVERS, Maire d’Augé

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Dès que l’impression sera terminée, vous serez avisés, (soit par la presse, soit au moyen des coordonnées figurant sur votre bon de réservation), de la date et du lieu où vous pourrez retirer votre livre.
De toute façon, ce sera avant Noël.
D’autre part, il y aura une séance de signature et de dédicace le jour de la « Foire au Vin Chaud ». Ce livre de 300 pages contient 533 photos et illustrations qui, je l’espère, vous seront agréables.                               M.M

………………………………………………………………………………………… couper ici …………….…………………………………………………………….……………
BON de RÉSERVATION (à faire parvenir à l’adresse ci-dessous).

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Souhaite réserver ____ livre(s). Le prix fixé est de 22€. ( Ne joignez pas de chèque, paiement à réception)

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M. Morisson, 22 route de Coutant, AUGÉ – 79400 France Courriel : m.morisson@wanadoo.fr

 

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NDLR – Voir aussi le volume 11 Poitou – Charentes de Ces villes et villages de France, … berceau de l’Amérique française, p. 213

Denis Vaugeois remporte le Prix Fleury-Mesplet : Une distinction prestigieuse bien méritée dans le cadre de la Soirée du livre en fête le 16 novembre 2012

Denis Vaugeois remporte le Prix Fleury-Mesplet :
Une distinction prestigieuse bien méritée
dans le cadre de la Soirée du livre en fête le 16 novembre 2012

 

Par Gilles Durand
Source : Le Salon du livre de Montréal (fichier pdf, 878 Ko)

 

Le Salon du livre de Montréal honore, le 16 novembre 2012, l’historien Denis Vaugeois en lui accordant une distinction prestigieuse, le Prix Fleury-Mesplet, du nom d’un éditeur français de Lyon qui fait ses premières armes à Philadelphie avant de passer à Montréal en 1776.

Denis Vaugeois

Crédit photo : Septentrion

Tout au long de sa riche carrière, Denis Vaugeois prend plusieurs chapeaux : haut-fonctionnaire, homme politique, pédagogue, chercheur, historien, éditeur. Par contre, s’il en est un dont il s’est toujours coiffé, c’est celui de chercheur et historien passionné. S’il partage aujourd’hui son temps entre la recherche et l’édition, c’est qu’il juge de première importance que la lumière ne reste pas sous le boisseau et qu’il importe tout autant de faire découvrir de nouveaux pans de notre histoire que d’encourager les auteurs qui le font.

C’est en ces termes que Louise Guillemette-Labory, directrice des Bibliothèques de Montréal et membre du Conseil d’administration du Salon, présente le lauréat : « Le monde du livre et de la lecture au Québec lui doit beaucoup : à l’auteur prolifique, à l’éditeur incontournable, mais aussi à l’homme politique qui a su si bien mettre à profit son passage au Ministère de la Culture pour créer de solides fondations pour l’industrie du livre au Québec. Ce grand amoureux des livres ne s’est pas contenté d’en lire, d’en écrire et d’en publier, mais il les a toujours défendus notamment en dotant le Québec de moyens originaux et efficaces pour assurer la viabilité de cet écosystème et l’accessibilité du livre à la grandeur du territoire ».

Denis Vaugeois, un auteur en tête d’affiche au Salon
« Professeur d’histoire, il publie son premier livre L’Union des deux Canadas (1791-1840) aux Éditions du Bien Public en 1962. Il sera l’auteur d’un grand nombre d’ouvrages portant sur l’histoire et il collaborera avec d’autres historiens et spécialistes réputés à la publication de manuels scolaires et de plusieurs livres de référence. Sa carrière de recherche et d’auteur s’échelonne sur les cinq dernières décennies. Il est un des fondateurs des Éditions du Boréal en 1962 et il crée les Éditions du Septentrion en 1988.

En 1965, il devient le premier directeur de l’enseignement de l’histoire dans le tout nouveau ministère de l’éducation du Québec. Il bifurque en 1966 vers des mandats internationaux à titre de codirecteur du Centre franco-québécois de développement pédagogique et de directeur général des relations internationales où il s’emploie à développer le réseau des délégations et maisons du Québec à l’étranger.

Engagé dans sa communauté, il est élu député de Trois-Rivières en 1976 et entre au cabinet de René Lévesque à titre de ministre des Affaires culturelles en 1978 et ministre des Communications en 1980.

À titre de ministre des Affaires culturelles, il se consacre à la défense du patrimoine, au développement des musées et des bibliothèques en plus d’assurer l’adoption de la Loi sur le développement des entreprises québécoises dans le domaine du livre (Loi 51).

Après un demi siècle de création littéraire, d’études rigoureuses de notre monde et des personnages historiques l’ayant façonné, de promotion de la littérature et des auteurs d’ici, d’engagement dans toutes les causes de promotion du livre et de sa diffusion par la librairie ou la bibliothèque, Denis Vaugeois se distingue particulièrement par sa position, son talent, son savoir et ses qualités de communicateur. »

Prix Fleury-Mesplet
« Créé en 1987 par le Conseil d’administration du Salon du livre de Montréal en l’honneur du premier imprimeur de Montréal et pionnier de l’édition au Québec, le prix Fleury-Mesplet fut institué pour honorer une personne, un organisme ou une compagnie qui, par son action, ses initiatives et son dynamisme, contribue au progrès de l’édition québécoise. »

Voir aussi :

Prochaine assemblée générale de la Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs (CFQLMC) – section Québec le 8 février 2013

Prochaine assemblée générale de la
Commission franco-québécoise sur les lieux
de mémoire communs (CFQLMC)
section Québec
le 8 février 2013

Bonjour à toutes et à tous!

Vous êtes invités à prendre note que la prochaine Assemblée générale de la CFQLMC, section Québec, se tiendra à Montréal le 8 février 2013, l’heure, l’endroit, ainsi que l’ordre du jour restant à être précisés.

Je profite de l’occasion pour vous informer que des activités de commémoration des Traités de Paris se dérouleront le 9 février à Montréal (table ronde et exposition), et le 10 à Québec (conférence de M. Denis Vaugeois). Vous serez informés ultérieurement du détail de ces activités.

Au grand plaisir de vous revoir en février prochain!

Yves Laliberté
Secrétaire général et trésorier
CFQLMC

Bulletin n°35, décembre 2012

 

Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs (CFQLMC)


1. Vie de la Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs et des partenaires

2. Grand dossier de la Commission

 

3. Prix, reconnaissances et distinctions

 

4. Expositions, colloques, conférences et activités publiques

5. Commémoration, généalogie et toponymie

6. Archéologie et patrimoine

7. Histoire

8. Tourisme culturel

9. Suggestions de lecture

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